En 1980, lors d’une expédition dans les jungles de Papouasie-Nouvelle-Guinée, des chercheurs ont découvert la carcasse d’un petit dinosaure avec des traces de décomposition sévère. Une analyse du tissu osseux a suggéré que le petit d’un parent Velociraptor est tombé entre les mains des scientifiques.
Soit dit en passant, en 1982, un membre de cette expédition a été privé du statut de scientifique et expulsé de la communauté scientifique. La raison en était qu’elle cherchait à faire reconnaître les résultats de l’analyse et l’existence de petits dinosaures en Papouasie-Nouvelle-Guinée. En conséquence, toute l’histoire a été déclarée fausse.

La rafale suivante de nouvelles de Velociraptor de ce pays est venue en 1989. Ensuite, l’expédition suédo-britannique-française a visité les régions du nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Ils n’ont pas vu de dinosaure, mais il se trouve qu’un certain prédateur a gravement blessé deux villageois et mis en pièces plus de 50 animaux domestiques et oiseaux.
Les Européens, médusés par cette nouvelle, tentent de savoir qui a attaqué les habitants du village. Malgré quelques difficultés de communication, il a été possible de découvrir qu’extérieurement la créature ressemblait à un lézard bipède à la peau brune. La tête ressemble à un serpent, allongée, avec de nombreuses petites dents acérées. Les pattes avant sont petites, mais avec de puissantes griffes crochues. Lorsqu’on a demandé aux victimes de dessiner celui qui les a attaquées, elles ont représenté une créature très semblable à un petit tyrannosaurus rex. Et encore une fois, cette histoire a été étouffée.
Une histoire similaire s’est produite en 1995 dans une colonie côtière du sud du pays où des habitants ingénieux ont utilisé des torches et l’agresseur s’est enfui sans causer de dégâts. Le fait que ces animaux aient peur du feu témoigne de leur origine naturelle. Il est indirectement prouvé que le cryptide de Papouasie-Nouvelle-Guinée est le fruit de l’évolution, et non un extraterrestre ou le résultat d’expériences biologiques. De telles versions ont été exprimées par de nombreux chercheurs dans les années 1990.

En 2008, un petit dinosaure a même été filmé. Encore une fois, une rafale de discussions a éclaté, mais à la fin, l’élite académique a considéré qu’il y avait peu de preuves pour reconnaître la bande vidéo comme réelle. En d’autres termes, des preuves plus détaillées, claires et irréfutables sont nécessaires.
L’histoire ne s’est pas du tout terminée en 2008. Au cours des dix dernières années en Papouasie-Nouvelle-Guinée, il y a eu 2 à 3 rencontres avec ces créatures dans la jungle chaque année. Les chercheurs locaux de l’université de la capitale sont convaincus que la population de ces créatures dépasse le nombre de perroquets hiboux et d’autres espèces animales en voie de disparition.
Cette conclusion a été tirée après qu’environ 200 personnes sur 6 000 habitants des villages interrogés aient déclaré avoir été témoins de rencontres avec des dinosaures vivants.
Un fait intéressant: lors de l’enquête, les habitants ont souligné les mêmes caractéristiques externes et détails de la créature. Il s’avère qu’un petit descendant de dinosaures pourrait bien vivre dans les jungles de Papouasie-Nouvelle-Guinée.

En 2021, un professeur de l’Université de Papouasie-Nouvelle-Guinée a dépeint cette créature avec le plus de détails possible. Sa hauteur atteint 65 à 70 centimètres et la longueur du museau au bout de la queue est supérieure à 130 centimètres. Ils vivent en groupes de 3 à 6 prédateurs individuels. Ils émettent un sifflement qui, en cas de danger, se transforme en cri. Ils se déplacent très rapidement. Les mâles sont plus petits que les femelles. La couleur est brune avec un cou et un ventre jaunâtres. Sur les pattes avant, il y a des griffes puissantes de 4 à 5 cm.
Le professeur pense que pour prouver qu’elles sont réelles, il suffit de trouver un crâne non pétrifié d’une de ces créatures. Il ne sert donc à rien de se mettre en danger en attrapant ces prédateurs féroces.
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