Nous avons vu dans la première partie de cette série que le Vatican a installé un télescope pour surveiller l’arrivée des Nephilim, sur une montagne en Arizona, où se trouve l’observatoire international du Mont Graham qui est considéré comme sacré pour les Indiens Apaches. Dans la deuxième partie nous avons abordé le sujet des élites qui seraient (pour la plupart) des hybrides Humains/Nephilim dont l’âme ne peut être rachetée… Derrière des gouverneurs, des législateurs, des présidents, des dictateurs, et même des chefs religieux, les puissances spirituelles mauvaises sont transférées dans toute la machine des gouvernements et des médias ecclésiastiques et civils, aussi librement qu’on leur permet.
En premier vient l’avant-garde. Après vient…
Par Tom Horn & Cris Putnam
Les histoires et les légendes, se prolongeant dès le début du temps dans chaque culture principale, racontent l’histoire étonnante et cohérente des « dieux » qui sont descendus du ciel et matérialisés dans des corps de chair. Notre hypothèse de fonctionnement est que les soi-disant extraterrestres ne sont rien de neuf. En effet, ils ont été avec nous tout au long. Ils apparaissent dans notre littérature dès que les traces se prolongent.
Dans certains des documents les plus récents, nous voyons une population de diverses entités étranges créées par les dieux.
Par exemple, dans l’épopée épique de la création des Akkadiens nous avons lu le monstre du chaos Tiamat utilisant une foule de singularités :
« Elle a déployé des serpents, des dragons, des hommes héros à chevelure, des monstres lions, des hommes lions, des hommes scorpions, des démons puissants, des hommes poissons, des hommes taureaux, soutenant des armes généreuses, et ne craignant aucune bataille. »
Comme le racontent les tablettes cunéiformes :
La divinité Enki a cru correctement que Apsu, contrarié avec le chaos qu’ils ont créé, prévoyait d’assassiner les divinités plus jeunes ; et ainsi elles l’ont capturé, le tenant prisonnier en dessous de son temple appelé E-Abzu. Kingu irrité, leur fils, a rapporté l’événement à Tiamat, sur quoi elle a façonné onze monstres pour lutter contre les divinités, afin de venger la mort d’Apsu. Ils étaient sa propre progéniture :
Bašmu « le serpent venimeux », Ušumgallu « le grand dragon », Mušmaḫḫū « le serpent exalté », le Mušḫuššu « le serpent furieux », le Laḫmu « celui velu », l’Ugallu « la grande bête du temps », l’Uridimmu « le lion fou », Girtablullû « l’homme scorpion », Umū dabrūtu « les tempêtes violentes », Kulullû « l’homme poisson », et Kusarikku « l’homme taureau ».
Ces entités sont indiquées dans les premiers enregistrements, et trouvent des parallèles étonnants en littérature postérieure. Des Sumériens par les Akkadiens, aux Hébreux antiques, ces légendes sont demeurées cohérentes. Plus tard, les « Grecs anciens et des mythes romains ont été peuplés pas seulement par des dieux, des héros, et des démons », le frère Guy Consolmagno du VATT au Mont Graham nous a rappelé : « Mais par un certain nombre d’êtres étranges et monstrueux. »
Ainsi, de Rome à la Grèce et avant cela, en Egypte, en Perse, en Assyrie, à Babylone, et Sumer – les plus anciennes traces de civilisation indiquent une ère où les êtres puissants connus des Hébreux comme des observateurs dans le livre de la Genèse, alors que le benei ha-elohim (fils de Dieu) descendait sur Terre, étaient mélangés avec des humains, et ont donné naissance aux hybrides, en partie célestes et terrestres, connus sous le nom de Nephilim.
La Bible indique que ceci s’est produit quand la civilisation a augmentée et que des filles étaient nées des hommes. Quand les fils de Dieu ont vu la beauté des femmes, ils ont pris des épouses parmi ces dernières pour engendrer leur progéniture peu commune.
Dans le paragraphe 6:4 de la Genèse nous avons lu le conte suivant :
« Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes, et qu’elles leur eurent donné des enfants: ce sont ces héros qui furent fameux dans l’antiquité. »
Quand ces écritures saintes sont comparée à d’autres textes antiques, y compris ceux des premiers pères de l’église, tels que Justin, Irenaeus, Athenagoras, Commodianus, Jules Africanus, Clément, Tertulluan, Methodius, et Ambrose, sans compter des travaux comme le Livre d’Enoch, le jubilé, Baruch, la Genèse Apocryphon, Philo, Josephus, Jasher, le testament des 12 patriarches, et beaucoup d’autres, la croyance antique fermement tenue devient claire, indiquant que les géants de l’Ancien Testament, tels que Goliath, était en partie humain, et en partie animal, d’une progéniture en partie angélique tenant d’une interruption surnaturelle dans l’ordre divin de la propagation naturelle des espèces.
Le premier historien romano-juif du 1er siècle, Flavius Josephus, a décrit une partie de l’histoire de cette façon :
Pour beaucoup d’anges de Dieu accompagnés avec des femmes, ils engendraient des fils qui ont été prouvés injustes, et dénigré tout ce qui était bon, à cause de la confiance qu’ils ont eu dans leur propre force ; pour la tradition, ces hommes ont fait ce qui a ressemblé aux actes de ceux que les Grecs appelaient des géants.
Mais Noé était très mal à l’aise avec ce qu’ils ont fait ; et était contrarié par leur conduite, les persuadant de changer leurs dispositions et leurs actes pour le meilleur : mais voyant qu’ils ne lui ont pas cédé, mais étaient esclaves de leurs plaisirs mauvais, il avait peur qu’ils ne veulent le tuer, ainsi que son épouse et ses enfants, et ceux qu’ils ont mariés ; ainsi il est parti hors de cette Terre.
Le premier père de l’église, Irenaeus, a ajouté que les anges ont employé des femmes, non seulement pour engendrer des « géants », mais ils leur ont enseigné des enchantements spécifiquement, afin de couler des breuvages magiques pour leurrer les hommes et les anges à leurs lits :
Et pour un temps très long, alors que la méchanceté s’étendait et se diffusait, et a néfastement atteint et possédé la course entière de l’humanité, jusqu’à ce qu’une graine très petite de droiture soit restée parmi eux. Les unions illicites ont eu lieu sur la Terre, depuis que des anges ont été unis aux filles de la course de l’humanité ; elles portent leurs fils qui pour leur grandeur excessive ont été appelés des géants.
Et les anges ont apportés en tant que présents à leurs épouses l’enseignement de la méchanceté, c’est-à-dire ils leur ont apporté les vertus des racines et des herbes, teignant en couleurs et cosmétiques, la découverte des substances rares, des philtres d’amour, des aversions, des intrigues amoureuses, la concupiscence, des contraintes de l’amour, des charmes d’ensorcellement, et toutes les sorcelleries et idolâtries détestables à Dieu ; par la participation desquels les choses mauvaises dans le monde se sont propagées et diffusées, alors que la droiture était diminuée et affaiblie.
Tandis que le prophète Daniel appelait certains anges puissants les « observateurs » dans l’écriture sainte canonique (Dan. 4:13,17,23), c’était le livre apocryphe d’Enoch qui a décrit la première fois leur conspiration cosmique. Nous avons lu :
Et moi Enoch bénissait le Seigneur de la majesté et le roi des âges, et lo !
Les observateurs m’ont appelé – Enoch le scribe – et m’ont dit : « Enoch, scribe de vertu, va, déclare aux observateurs du ciel qui ont quitté le haut paradis, l’endroit éternel saint, et se sont défilés avec des femmes, et ont fait comme le font les enfants de la Terre, ont pris parmi eux-mêmes des épouses : vous avez travaillé à des grandes destructions sur la Terre : Et vous n’aurez aucune paix ni rémission de péché : et dans la mesure où ils se réjouissent eux-mêmes de leurs enfants (les Nephilim), le meurtre de leur bien aimé ils verront, et au-dessus de la destruction de leurs enfants ils se lamenteront, et feront la supplication à l’éternité, mais la pitié et la paix ne les atteindront pas. » (1 Enoch 10:3-8).
Selon Enoch, deux cents de ces anges puissants sont partis du « haut paradis », et ont employé des femmes (notamment) pour prolonger leur progéniture dans le plan de l’existence de l’humanité.
David Flynn a référencé une Bible hébraïque interlinéaire qui offre une interprétation intéressante du paragraphe 6:2 de la Genèse à cet égard. Là où la Bible rappelle que le Roi James dit : « Les fils de Dieu ont vu les filles des hommes qui elles étaient justes. »
Flynn interprète ceci comme :
« Le benei Elohim ont vu les filles d’Adam, qui étaient des prolongements convenables ». En d’autres termes, ils ont voulu s’incarner eux-mêmes au monde matériel.
Le Nouveau Testament suggère également cette idée quand Judas, le frère de notre Seigneur, a écrit :
« Et les anges qui n’ont pas gardé leur premier domaine, mais ont quitté leur propre habitation l’oikētērion … » (Judas 6).
Ce terme grec oikētērion est employé par Paul dans le paragraphe 2 5:2 des Corinthiens pour dénoter le corps transfiguré donné aux croyants dans le paradis.
Ceci implique que ces anges tombés ont en effet cherché à prolonger une partie d’eux-mêmes dans des corps terrestres.
L’interprétation « correspond aux prolongements » semble applicable quand on comprend que la totalité des témoignages antiques rapporte que les observateurs ont voulu laisser leur sphère appropriée d’existence, afin d’entrer dans la réalité tridimensionnelle de la Terre. Ils ont vu les femmes – ou au moins leur matériel génétique – comme une partie de la formule pour accomplir cette tâche.
Les traces antiques suggèrent que les observateurs ont aussi bien modifié des animaux.
Par exemple, le jubilés impliquent que le mélange inter-espèce a eu par la suite comme conséquence des mutations parmi les humains et les animaux normaux dont la « chair » (matériel génétique) « a été corrompue » par l’activité, vraisemblablement de l’intégration inter-génétique :
Et l’injustice s’accrue sur la Terre, et toute la chair corrompue sa voie; l’homme et le bétail et les bêtes et les oiseaux, et tout ce qui marche sur la Terre.
Et ils ont tous corrompu leurs manières et leurs ordonnances, et ils ont commencé à manger l’un l’autre.
Et l’injustice s’est développée sur la Terre et chaque imagination des pensées de toute l’humanité était ainsi continuellement mauvaise. (Le 5:2 des jubilés soulignent en supplémentaire, cf. le 7h21 – 25) \[VI]
Même l’Ancien Testament contient la référence aux mutations qui se sont développées parmi des humains suivant cette période de temps, y compris des « hommes » de tailles peu communes, de grande résistance physique, de six doigts, de six orteils, d’appétit animal pour le sang, et même de caractéristiques ressemblant à un lion (2 Samuel 21 :20 ; 23 :20).
Le premier père de l’église, Eusebius, ajoute d’autres détails importants :
Et ils engendrèrent des êtres humains, avec deux ailes ; et puis d’autres avec quatre ailes et deux visages et un corps et deux tête… encore d’autres avec des sabots de chevaux, et d’autres sous la forme de cheval à l’arrière et humaine à l’avant… ils ont également fait des taureaux avec des têtes humaines et des chevaux avec des têtes de chien, puis toutes sortes d’êtres monstrueux comme un dragon…
Des « humains avec des ailes » et « des monstres comme des dragon », J.R. Church a, par le passé, fait une remarque intéressante, puisque cette activité était satanique en nature, il se rapporte à la « graine du serpent » qui était hostile au Christ.
« Le concept d’une race reptilienne continue dans toute la Bible comme symbole métaphorique du diable », a-t-il écrit dans la prophétie de News Magazine en février 2009. «
Plus tard les écritures saintes ajoutent le terme de « dragon », avec l’implication que ces créatures de l’au-delà ont été conçues avec le code d’ADN d’une race de reptile.
» L’église a continué pour énoncer comment certaines de ces créatures sataniques ont été dépeintes dans l’art antique en tant que « gargouilles – chauve-souris, ou de dragons avec des ailes », en cela nous ne devrions pas être étonnés qu’« une race reptile de type humanoïde pourrait cohabiter avec les femmes humaines et produire une race de géants ».
Dans ce qui pourrait être un appui historique des prémisses du Dr. Church’s, un fragment de document trouvé dans la caverne n° 4 parmi les rouleaux de la Mer Morte contient une remontrance par Amram, le père de Moïse, à ses enfants.
Dans un segment gravement endommagé du texte, Amram voit l’ange en chef de l’obscurité, un observateur appelé Melkireshaʿ sous la forme d’un reptile :
J’ai vu des observateurs dans ma vision, une vision rêveuse, et j’aperçue deux (d’entre eux) argumentant à mon sujet… Et ils étaient engagés dans une grande querelle à mon sujet.
Je leur ai demandé : Vous, qui êtes-vous ? Parlant ainsi à propos de moi ? » Ils ont répondu et ils m’ont dit : « Nous avons été faits maîtres et ordonnons au-dessus de tous les fils des hommes. » Et ils m’ont dit : « Ce que nous faisons vous choisissez… »
J’ai ouvert mes yeux et j’ai vu l’un d’entre eux. Son regard était effrayant comme celui d’une vipère, ses vêtements étaient multicolores et il était extrêmement foncé…
Et après j’ai regardé et aperçu… son aspect, et son visage était comme celui d’une vipère \[un serpent venimeux], et en était couvert… sur son ensemble, et ses yeux… »
Le fait que les observateurs soient décrits en termes explicitement reptiliens par les Hébreux antiques fonde l’examen ufologique de tels êtres et de leurs interactions avec l’homme fermement dans l’histoire antique.
L’exemple, le travail séminal du Dr. John Mack sur le phénomène d’abduction, cite beaucoup de cas impliquant des entités rencontrant la même description que celle trouvée dans les rouleaux de la Mer Morte.
Par exemple, la description par Sarah :
« La tête était la partie la plus importante du corps, elle était « scintillante », d’aspect de « reptile », presque comme un type de serpent et tout à fait oblongue. »
En outre, contrairement aux exposés révisionnistes présentés par les théoriciens des astronautes antiques, ceci implique que les soi-disant reptiliens sont, en fait, des observateurs poursuivant un ordre du jour plus sinistre que l’exploration scientifique. Cependant, les témoignages de personnes enlevées suggèrent également que leur intérêt pour le matériel génétique soit très réel.
Peut-être la description la plus « scientifique » au sujet des expériences des observateurs et de leur modification génétique des humains et des animaux vient à nous du livre de Jasher, un texte hébreu qui ajoute un détail exceptionnel sur lequel aucun des autres textes n’est clair, quelque chose que l’on peut seulement comprendre dans la langue moderne signifiant de la biotechnologie avancée, le génie génétique, ou « la modification transgénique » des espèces. Après que les observateurs aient instruit des humains « dans les secrets du paradis », notez ce qu’il indique s’être produit:
Puis les fils des hommes a commencé à enseigner le mélange des animaux des espèces l’une avec l’autre, dans le but en conséquence de provoquer le Seigneur. (Jasher 4 :18)
Il semble vraisemblablement que l’expression « le mélange des animaux et des espèces l’une avec l’autre » signifie que les observateurs avaient enseigné aux hommes quelque chose de plus que le croisement animal naturel, car ceci n’aurait pas « provoqué le Seigneur. » Dieu a fait des animaux de différentes races capables de se reproduire. Par exemple, les chevaux peuvent se propager avec d’autres mammifères de la classification équivalente (de la « famille taxonomique du cheval »), y compris les ânes et les zèbres. Cela n’aurait pas « a provoqué le Seigneur » si ce type d’élevage avait eu lieu, car Dieu lui-même a rendu les animaux capables de faire ceci.
Si, d’autre part, les observateurs croisaient les frontières des espèces en mélangeant des animaux incompatibles d’une espèce à l’autre, tel qu’un cheval avec un humain (un centaure), ceci aurait été une question totalement différente, et pourrait jeter la lumière sur les nombreuses histoires antiques des êtres mythiques de variantes d’espèces, fabriquant cet ajustement parfaitement dans les annales de ce que les observateurs accomplissaient.
Tout naturellement, ce genre de fabrication de chimères aurait « provoqué le Seigneur » et soulève la question sérieuse de pourquoi les observateurs auraient risqué la malédiction éternelle en bricolant avec la création de Dieu de cette façon. Plusieurs théories existent quant à « pourquoi » les observateurs auraient corrompu des génotypes naturels, y compris l’idée que :
- 1) Parce que Yahvé avait placé des frontières entre les espèces et strictement commandé que « chacun type » se reproduise seulement d’après son « propre genre », les observateurs en tant que rebelles ont cherché à casser ces règles afin d’assaillir le génie créatif de Dieu en changeant biologiquement ce qu’il avait fait ;
- 2) La corruption de l’ADN antédiluvienne par des observateurs était un effort pour découper la ligne de naissance du Messie.
Cette théorie pose le principe que Satan a compris la promesse du protoevangeliume dans le paragraphe 3 :15 de la Genèse qu’un sauveur naîtrait, de la graine de la femme, et qu’il détruirait la puissance de l’ange tombé.
Les disciples de Satan se sont donc mélangés à la race humaine dans une conspiration pour arrêter la naissance du Christ. Ils ont raisonné que si l’ADN humain pouvait être universellement corrompu ou « démonisé », aucun sauveur ne naîtrait et l’humanité serait perdue pour toujours.
Ceux qui soutiennent cette théorie croient que c’est pourquoi Dieu a commandé à ses personnes de maintenir une ligne de sang pur et de ne pas pratiquer l’endogamie avec les autres nations.
Quand les Hébreux ont manqué à ce commandement et que l’ADN muté a commencé à se répandre rapidement parmi les hommes et les animaux, Dieu a instruit Noé de construire une arche, et de se préparer à une inondation qui détruirait chaque chose vivante, dont le but était de purger la Terre des génotypes et des phénotypes souillés.
En conclusion, une troisième théorie, quant à pourquoi les observateurs ont fusionné la génétique de diverses formes de vie, incorpore les fameux textes antiques volumineux des « observateurs » dans un conte cohérent concernant le dépassement des motifs pour la raison à laquelle les observateurs avaient apparemment employé l’ADN. Quand ceci fut fait, il devient clair pour eux que les substances génétiques sont un matériau de construction organique central a la Terre (ou comme le Dr. Jacques Vallée l’a appelé : « énergie vivante ») pour établir un corps composite qui leur permettrait de laisser leur plan d’existence et d’entrer dans l’homme (voir le 1 : 6 de Judas ; Animal familier 2 : 2 : 4).
Le défi de cette théorie est comment l’entremêlement de diverses espèces satisferait ce but ou fournirait aux observateurs une méthode de départ du « haut paradis », afin de s’incarner dans l’« habitation » de l’homme « . »
Tandis que nous ne prendrons pas le temps d’expliquer ici chaque détail, l’hypothèse est que les observateurs combinaient des espèces, afin de créer un corps sans âme ou sans esprit, un « grand organisme » vide, mais vivant, ou la « coquille » dans laquelle ils pourraient se prolonger.
Le raisonnement ici est que chaque créature qui a existé à l’origine a eu son début dans Dieu, qui a tissé une barrière entre les espèces et a commandé à chaque créature de se reproduire « d’après son propre genre ». L’expression « d’après son propre genre » vérifie quel type d’esprit peut entrer dans un être intelligent à la conception.
Quand le sperme d’un chien rencontre l’ovule d’une chienne, la vie d’un chien est formée à la première étincelle de la vie, l’esprit (ou la « nature » en parlant d’un animal) d’un chien entre dans cet embryon, et il grossit et devient un chien dans l’esprit et la forme.
L’esprit d’un homme ne rentre pas dedans, de la même manière qu’un homme ne naît pas avec l’esprit d’un cheval ou d’une vache. Cette intégrité de créature/esprit fait partie de l’ordre divin et aurait gardé les observateurs, qui ont voulu s’incarner dans le royaume humain (pas simplement « possédez » les créatures), de déplacer les esprits des humains ou des animaux et de les remplacer par eux-mêmes.
Comment les observateurs ont-ils surmonté ce problème ? Il est évident que basé sur les enregistrements antiques (et comme les scientifiques modernes le font aujourd’hui) ils ont mélangé l’ADN existant de plusieurs créatures vivantes, et ont fait quelque chose dans lequel ni l’esprit de l’homme ou de la bête ne voudrait entrer à la conception, parce que ce n’était ni homme ni bête.
Comme Mysterious World l’a noté dans sa caractéristique de 2003 : « Géant dans la Terre » :
Les Nephilim étaient des êtres créés, génétiquement, à partir du matériel génétique de diverses espèces animales préexistantes….
Les anges tombés ne se sont pas personnellement entrecroisés avec les filles des hommes, mais ont employé leur intellect divin pour fouiller dans le secret de la création de YHWH pour le manœuvrer à leurs propres buts. Et la clé pour créer ou recréer l’homme, comme nous l’avons redécouvert au 20e siècle, est le génome humain, l’ADN.
Selon cette extrapolation des contes antiques, la manipulation du tissu vivant par les anges tombés a mené à un corps peu commun composé d’humain, d’animal, et du plan génétique connut sous le nom de Nephilim, un fac-similé « terrestre » où « s’insère l’extension » dans la quelle ils pourraient s’incarner.
Tandis que cette théorie s’ajoute de manière significative aux traces antiques, elle cherche à moderniser l’ancienne description de ce qu’ils, peut-être, n’ont pas entièrement saisi par la vision d’un vocabulaire préscientifique. Intéressant, la science a découvert des preuves inattendues pour ceci dans le génome humain.
The Washington Post a récemment édité une histoire sur les découvertes d’une espèce « mystérieuse », avec un ADN partiel humain, qui aurait un jour marché sur la Terre.
L’histoire, intitulée « Les chercheurs d’UW indiquent : Sexe avec les espèces mystérieuses de l’homme du début de l’époque vu dans l’ADN », est juste la dernière dans une série de découvertes récentes semblables, et tandis qu’aucun os géant fossilisé n’était trouvé dans ce cas, une carte d’appel a été laissée dans les temps présents : Africain : extraits de l’ADN « étranger ».
«Ces restes génétiques ne ressemblent pas à l’ADN d’aucun humain moderne », rapporte l’article, avant d’ajouter cette bombe: « L’ADN étranger également ne ressemble pas à l’ADN de Neandertal, qui apparaît dans l’ADN de quelques Européens modernes. Cela signifie que l’ADN nouvellement identifié est venu d’un groupe inconnu. »
Etant donné les théories ci-dessus, l’histoire biblique de la progéniture des Nephilim offre la réponse la plus satisfaisante à cette énigme.
Une objection, de temps en temps formulée, contre l’idée de naissances hybrides en partie d’homme résultant d’une union angélique et de la génétique humaine, est la croyance que les anges sont censément asexués, depuis que Jésus a dit à la Résurrection, que les gens ni ne se marieront ni seront donnés dans le mariage, mais seront « comme les anges dans le paradis. »
Cependant, James Montgomery Boice précise, les mots enregistrés en Mathieu 22 : 30 :
« Ne sont pas l’équivalent de dire que les anges sont asexués ou qu’ils ne pourraient pas avoir eu des rapports sexuels avec des femmes s’ils avaient choisi de faire ainsi. Dans le paradis les êtres humains ne se marieront pas mais néanmoins maintiendrait leur identité, ce qui inclut être mâle ou femelle. De la même manière, les anges ont pu également avoir des identités sexuelles.
Elle signifie peut-être que quand les anges sont mentionnés dans l’écriture sainte c’est toujours avec le pronom masculin « lui », et ils sont toujours décrits comme des hommes. » Ainsi, quand Jésus a dit les anges « dans le paradis » ne se marient pas, c’est une question distincte de ce que ces anges qui sont partis (ou ont été jetés hors du) paradis étaient capables de faire et ont apparemment fait. Judas 1 : 6-7 ajoute un aspect profondément important au sujet de ceci, quand il indique :
« Je veux vous rappeler, à vous qui savez fort bien toutes ces choses, que le Seigneur, après avoir sauvé le peuple et l’avoir tiré du pays d’Égypte, fit ensuite périr les incrédules; qu’il a réservé pour le jugement du grand jour, enchaînés éternellement par les ténèbres, les anges qui n’ont pas gardé leur dignité, mais qui ont abandonné leur propre demeure; que Sodome et Gomorrhe et les villes voisines, qui se livrèrent comme eux à l’impudicité et à des vices contre natur], sont données en exemple, subissant la peine d’un feu éternel.»
Il est remarquable ici que Judas relie le péché des anges tombés aux péchés sexuels de Sodome et Gomorrhe, utilisant le commentaire indiquant qu’ils étaient allés après « des vices contre nature ».
C’est le grec sarkos heteros, et contient une signification très importante reliée à la façon dont les hommes de Sodome et de Gomorrhe ont voulu avoir des relations sexuelles avec des anges(voir la Genèse 19).
Ainsi leur péché est comparé par Judas à ces anges d’un vers plus tôt, qui sont partis de leur habitation appropriée dans le paradis pour se mêler avec des femmes.
L’apôtre Paul résonne également ces délimitations dans les Corinthiens 1 – 15 : 40, quand il dit :
« Il y a aussi des corps célestes et des corps terrestres; mais autre est l’éclat des corps célestes, autre celui des corps terrestres. »
Quand, expliquant comment le corps « merveilleux » se compose de quelque chose d’entièrement différent du « corps terrestre », Paul parle-t-il métaphysiquement ou une différence dans « la matière première » de ces corps peut être assumée? Certainement elle le peut, parce que dans le vers juste avant celui-ci, il parle des différences entre la chair des hommes, des bêtes, des poissons, et des oiseaux, pourtant ce sont toutes de la composition terrestre, par opposition au vers suivant où il divise clairement le corps céleste en tant que « autre » type de corps pas de la même sorte que le « terrestre » (terra firma, de la Terre).
Selon le père apostolique du 2e siècle, Athenagoras, Lucifer avait été l’ange à l’origine placé responsable de la « matière » terrestre (voir la plaie pour les chrétiens). Après sa chute, Satan a employé sa connaissance de la création et de la génétique pour corrompre ce que Dieu avait fait.
C’est intéressant à la lumière de la science moderne et de la suggestion récente que les anomalies génétiques « peuvent prédisposer un homme au comportement antisocial, y compris des crimes de violence ».
Un des sujets les plus chauds dans la biologie est aujourd’hui la science de l’« epi-génétique », qui implique les changements héritables de l’expression du gène ou des phénotypes cellulaires qui peuvent être provoqués par des « mécanismes » autres que les changements normaux, qui se produisent en étant à la base des séquences ADN – ainsi le titre – epi – (Grec : επί- au-dessus, d’en haut,) – génétique.
Si le supranaturalisme peut jouer un rôle comme un de ces « mécanismes externes » est suggestif, et beaucoup de chercheurs croient que la possession démoniaque, par exemple, peut négativement affecter la santé chromosomique. Le Nouveau Testament est rempli des connexions entre la maladie et les affections génétiques comme directement relié au démonisme.
Selon le théologien et l’expert en matière de guerre spirituel, le Dr. Neil Andersen :
« Approximativement un quart de toutes les guérisons enregistrées dans l’Évangile de Marc étaient réellement des délivrances. »
Par exemple : « Le soir, on amena auprès de Jésus plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole, et il guérit tous les malades. »
Et : « Puis, ayant appelé ses douze disciples, il leur donna le pouvoir de chasser les esprits impurs, et de guérir toute maladie et toute infirmité. » (Mathieu 8:16 ; 10 :1).
Mais, c’est seulement une partie de l’histoire. Il y a une différence entre les humains démonisés… et ceux parmi nous maintenant.
Le retour des Hybrides
Le 28 novembre 2012, lors de la troisième saison de « Conspiracy Theory avec Jesse Ventura », le programme de TruTV a examiné « les expériences hybrides homme-animal qui sont censées avoir dépassé la boîte de Pétri avec des rumeurs selon lesquelles une vraie « Planète des Singes » est en cours de création. »
Les producteurs avaient contacté un des auteurs de l’ouvrage Exo-Vaticana à la fin de 2011 avec une demande d’aide. Ils voulaient savoir si les scientifiques avaient clandestinement franchi le Rubicon en ce qui concerne les expériences génétiques homme-animal.
Bien que Tom ait passé de nombreuses heures comme consultant en fournissant de la documentation et des témoins experts, il a refusé à plusieurs reprises de faire partie de la saison 3, décrite sur le site web de Ventura de cette façon :
« La science a fait des percées majeures dans la recherche des médicaments et dans la technologie des transplantations en expérimentant sur des « chimères », des embryons hybrides homme/animal. Mais, ces objectifs apparemment nobles peuvent couvrir un but beaucoup plus néfaste, la création de super soldats, demi-homme, demi-singe, ouvrant la voie à l’existence d’une vraie planète des singes. »
(Les producteurs ont effectivement offert à trois reprises de déplacer Tom vers des emplacements aux États-Unis pour rencontrer Jesse Ventura et l’équipe du film, mais, il a refusé pour des raisons qui seront révélées ultérieurement. Inversement, si Tom a décliné leur invitation pour être sur l’émission, il les a mis en contact avec le professeur William B. Hurlbut, professeur consultant pour le Département de neurologie et des sciences neurologiques du Centre médical universitaire Stanford et membre du Conseil de la bioéthique du président américain qui sera présent avec les deux auteurs d’Exo-Vaticana et plus d’une douzaine d’experts dans un prochain documentaire révélant le Transhumanisme, cédulé pour 2013).
Parmi les nombreux articles de recherches, des articles dans la ligne budgétaire de DARPA, les endroits suspects où l’éthique des expérimentations humaines-animales peuvent avoir dépassé le rideau de l’acceptabilité et les rapports des médias que Tom a transmis aux producteurs, il y avait un article de Reuters daté du 9 novembre 2009, intitulé, « Les scientifiques veulent un débat sur les animaux avec les gènes humains », qui fait allusion à quel point les scientifiques sont arrivés jusqu’à présent et jusqu’où ils ont l’intention d’aller avec l’hybridation humaine et animale.
Le tout commence avec, « Une souris qui peut parler ? Un singe avec le syndrome de Down ? Des chiens avec des mains ou des pieds humains ? Les scientifiques britanniques veulent savoir si de telles expériences sont acceptables, » puis, cela continue avec les révélations que les scientifiques de la Grande-Bretagne étaient à l’aise maintenant avec un maximum de 50/50 d’intégration animale-humaine.
L’article laisse entendre que ce ne sont pas toutes les recherches en cours actuellement qui sont maintenues au niveau embryonnaire, et que des monstruosités pleinement matures sont tranquillement à l’étude.
Il n’a pas fallu longtemps pour deviner si l’article de Reuters était simplement spéculatif ou si effectivement il y avait des scientifiques qui expérimentent déjà des créations homme-animal qui ont dépassé le stade embryonnaire.
En juillet 2011, l’Académie britannique des sciences médicales a reconnu dans un rapport de 148 pages comment la science avait progressé si rapidement dans des laboratoires dans le monde sans contrôle approprié et a reconnu qu’une commission internationale était nécessaire pour superviser d’une manière urgente la création de ces chimères, en partie humaines, en partie animales et en partie synthétiques.
Fait intéressant, l’Académie des sciences médicales n’a pas demandé l’interdiction de la science, mais plutôt, un organisme international de surveillance en vertu duquel la science pourrait pleinement et officiellement procéder.
Dans le précis de leur analyse, ils considèrent « les recherches qui impliquent l’introduction de la séquence humaine de l’ADN dans les animaux, ou le mélange de cellules, ou de tissus humains et animaux, pour créer des entités que nous appelons « des animaux contenant du matériel humain ».
Ils ont ensuite avoué : « De telles approches sont établies de longue date, et beaucoup « d’animaux différents contenant du matériel humain » ont été utilisés dans la recherche biomédicale, et pourtant, elles n’ont reçu que relativement peu de débats publics. »
Quelle sorte d’êtres les éminents scientifiques britanniques connaissent-ils ou soupçonnent-ils être maintenant secrètement à l’étude?
À partir du résumé de leur communication, nous trouvons :
Une modification importante du cerveau d’un animal, par implantation de cellules humaines dérivées, qui pourrait résulter en la capacité cognitive altérée approchant la « conscience » humaine, ou la « sensation », la capacité comportementale « humanoïde ».
Des situations où les gamètes humains fonctionnels (spermatozoïdes, ovules) pourraient se développer à partir de précurseurs types cellulaires chez un animal et où la fécondation entre les gamètes humains et animaux pourraient alors se produire [nous parlons ici d’animaux qui peuvent concevoir à partir du sperme humain et donner naissance à un homme-animal].
Des modifications cellulaires ou génétiques qui pourraient donner des animaux ayant l’apparence humaine (la peau, le corps ou la structure du visage) ou des caractéristiques comme la parole [en d’autres termes, des Nephilim].
Un jour seulement après que l’Académie des sciences médicales ait distribué ce rapport, le UK Mail Online a publié un article décrivant en détail comment, dans un cas seulement (et potentiellement des dizaines de milliers) :
« Les scientifiques ont créé plus de 150 hybrides embryonnaires hommes-animaux dans les laboratoires britanniques. Les hybrides ont été produits secrètement au cours des trois dernières années par des chercheurs qui étudient les remèdes possibles pour un large éventail de maladies. La révélation vient juste un jour après qu’un comité de scientifiques a mis en garde contre un scénario de « Planète des Singes » dans lequel les créations humaines-animales vont trop loin. »
Bien que de telles chimères soient censées être détruites au niveau embryonnaire, les experts impliqués dans le domaine qui ont été interrogés par Reuters ont admis « que certains scientifiques dans certains endroits veulent repousser les limites ». En d’autres termes, il existe fort probablement des créatures dans des laboratoires maintenant, dans des endroits que ces scientifiques n’ont pas mentionnés.
Martin Bobrow, professeur de génétique médicale à l’Université de Cambridge a laissé entendre pourquoi c’était le cas :
« Il y a toute une série de nouvelles techniques scientifiques qui rendront le tout non seulement plus facile mais aussi plus important d’être capable de faire ces expériences inter-espèces. »
Un endroit où les chercheurs peuvent avoir déjà considéré cette recherche comme « importante » et qui justifie de repousser ces « limites », auxquelles font allusion des scientifiques britanniques, est le Centre national de recherches sur les primates Yerkes de l’Université Emory en Géorgie. C’est un des huit centres nationaux de recherches sur les primates financés par les Instituts nationaux de la santé, qui ont manifesté leur intérêt dans la combinaison de la génétique humaine et animale pour créer de nouvelles espèces.
Le canal Discovery, le 27 mars 1998, a examiné un rapport par le Dr Gordon Gallup, psychologue de l’Université d’Albany, sur le Centre national des recherches sur les primates Yerkes, dans lequel il avouait « qu’un hybride humain-chimpanzé avait pu être engendré et était né au centre, mais, avait été détruit par les scientifiques peu de temps après. » Ce n’est pas surprenant, puisque les professeurs d’Emory, y compris le rabbin Michael Broyde, ont soutenu récemment que la loi juive soutiendrait les humains animalisés tant que la technologie produirait des êtres supérieurs.
Dans un article du 7 octobre 2011 sur le site web de l’Université, Broyde a dit :
« Le génie génétique, dans lequel les traits de différentes personnes ou d’animaux sont combinés, a déjà donné lieu à des combinaisons étonnantes … La loi juive appuierait un chimérisme similaire intentionnel humain-humain, dans lequel le matériel embryonnaire de deux fœtus est mélangé, ou un chimérisme humain-animal, dans lequel les cellules d’un être humain sont mélangées avec des cellules d’un autre mammifère …. Les procédés et les technologies qui donnent des enfants en bonne santé, ou plus sains, sont intrinsèquement bonnes et devraient être adoptées, sans crainte. »
Le professeur Broyde a raison d’affirmer qu’en modifiant génétiquement « les traits de différentes personnes … cela a donné lieu à des combinaisons étonnantes ».
En fait, les premiers humains génétiquement modifiés connus sont nés il y a une décennie à la suite d’un programme expérimental de l’Institut pour la reproduction médicale et scientifique de St Barnabas dans le New Jersey.
Un article de cette période a expliqué le cadre de la recherche, en disant :
« Les bébés sont nés de femmes qui avaient des difficultés à concevoir. Des gènes supplémentaires provenant d’une donneuse ont été insérés dans leurs ovules avant la fécondation pour tenter de leur permettre de concevoir. Des tests d’empreintes génétiques sur les deux enfants âgés d’un an ont confirmé qu’ils avaient hérité de l’ADN de trois adultes, deux femmes et un homme. »
Concernant ces expériences, le Dr Joseph Mercola signale quelque chose de très important :
« Aujourd’hui, ces enfants sont dans leurs premières années d’adolescence, et tandis que l’étude originale revendique que c’était « le premier cas de modifications génétiques germinales humaines résultant en des enfants en bonne santé », des rapports subséquents discutent sur de telles allégations de succès absolu [ce qui signifie que pas nécessairement tous les enfants génétiquement modifiés étaient en bonne santé].
Pourtant, en 2001, les auteurs semblent penser qu’ils ont tout sous contrôle, en déclarant :
« Ce sont les premiers cas signalés de modifications génétiques germinales de l’ADNmt qui ont conduit à l’héritage des populations ADNmt dans deux enfants issus de la transplantation ovoplasmique. Ces empreintes d’ADN mitochondrial montrent que les mitochondries transférées peuvent être reproduites et maintenues dans la descendance, étant donc une modification génétique sans altération possible de la fonction mitochondriale. »
Le Dr Mercola poursuit :
« Il est pertinent de comprendre que ces enfants ont hérité de gènes supplémentaires, de deux femmes et d’un homme, et seront en mesure de passer cette série supplémentaire de traits génétiques à leur propre progéniture. Un des aspects les plus choquants ici, c’est que cela a été fait à plusieurs reprises, même si on ne savait pas quelles seraient les conséquences d’avoir les caractéristiques génétiques de trois parents pour un individu, ou pour leur progéniture ultérieure. D’après ce que j’ai appris sur le génie génétique des plantes, je suis enclin à dire que les ramifications pourraient être vastes, terribles et tout à fait inattendues ».
Pour ceux qui sont enclins à croire que l’étonnant rapport ci-dessus n’était qu’un incident isolé, des scientifiques britanniques ont répété les mêmes expériences en 2008 et en 2012, l’Université de la santé et des sciences de l’Oregon a effectué des recherches similaires visant à produire génétiquement des super bébés.
Pourtant, quel que soit le nombre de fois où ceci et d’autres formes de « bricolage » génétique humain ont été secrètement effectués en dehors d’un examen public ou du Congrès (les précédences historiques suggèrent de nombreuses fois), il est important de comprendre comment le génie génétique germinal, qui a été utilisé dans cet exemple, où une trentaine d’enfants génétiquement modifiés ont été créés, reflète le même modus operandi que les anges déchus ont utilisé avec les Nephilim, en introduisant des modifications héritables au génotype humain qui ont donné naissance littéralement dans le monde entier à des changements génétiques par la reproduction naturelle.
Les préoccupations du Dr Mercola sont très appropriées alors que les modèles actuels de modifications génétiques sur les êtres humains transportent le même potentiel que lorsque « toute chair » avait été corrompue dans l’Ancien Testament et a dû être détruite par Dieu.
L’ingénierie germinale est considérée par certains bioéthiciens conservateurs comme la plus dangereuse technologie pour l’amélioration de l’homme, car elle a le pouvoir de remonter la nature même de l’humanité en post-humanité, en modifiant chaque cellule d’un embryon et conduisant à des modifications transmissibles à toutes les générations à venir.
Le débat sur l’ingénierie germinale est donc plus critique parce que lorsque les changements à la descendance génétique sont activés, le génotype et le phénotype (nature, composition physique et comportement) de l’humanité sera modifié sans espoir de retour, déformant d’une manière permanente l’avenir de l’humanité.
En dépit de cela, selon les « éthiciens », comme le Professeur Julian Savulescu de l’Université d’Oxford, non seulement avons-nous une « obligation morale » de concevoir de telles personnes, mais, les embryons qui ne répondraient pas à certaines améliorations génétiques à l’avenir ne devraient pas être autorisés à vivre.
Le Dr Richard Seed, un physicien de Chicago, est allé plus loin en avertissant que quiconque aurait l’intention de s’opposer à ce rêve, ferait mieux de repenser sa position :
« Nous allons devenir des dieux. Si vous n’aimez pas cela, allez ailleurs. Vous n’avez pas à contribuer, vous n’avez pas à participer, mais, si vous tentez de m’empêcher de devenir un Dieu, vous allez avoir des ennuis. Ce sera la guerre. »
Les professeurs Seed et Savulescu ne sont pas les seuls avec ces fortes convictions.
Le Dr Gregory Stock, un promoteur respecté de la technologie germinale, soutient que l’homme a non seulement une responsabilité morale pour « améliorer » le génotype humain, mais une nouvelle technologie puissante à notre disposition pour transcender les limites biologiques existantes rend les schémas des transhumanistes inévitables, sinon imminents.
« Nous avons dépensé des milliards pour nous doter de la biologie, non pour notre stupide curiosité, mais dans l’espoir d’améliorer notre vie. Nous ne sommes pas sur le point de nous détourner de tout cela », a-t-il dit. Ailleurs, Stock a cependant admis que cela pourrait conduire à « des groupes de surhommes génétiquement améliorés qui pourraient nous dominer, sinon nous asservir. »
Ainsi, à partir des projets d’armées « d’hommes-singes » d’Ilya Ivanov sous le dictateur soviétique Joseph Staline, à la première partie du vingtième siècle où Adolf Hitler a chargé Josef Mengele de faire des expériences horribles sur des êtres humains vivants dans les camps de concentration pour tester leurs théories génétiques, jusqu’aux États-Unis, dans les années 1970, où plus de 60,000 Américains ont été stérilisés après avoir été jugés comme stock génétique inférieur, le rêve de progresser vers la prochaine étape dans l’évolution humaine au moyen de l’ingénierie homo-supérieur a toujours eu ses promoteurs.
La différence, jusqu’à récemment, était que les visions des Dr. Frankenstein ne pouvaient se concrétiser car ils n’avaient pas les compétences biotechnologiques pour y arriver et que la volonté du public ne pouvait permettre « un génie génétique et neurologique à grande échelle de nous-mêmes ».
Aujourd’hui tout a changé, la technologie est arrivée et la volonté de créer une nouvelle forme d’homme est entrée du moins dans l’acceptation, si elle n’est pas secrètement vraiment avancée. Même les récents Jeux olympiques ont souligné cette science, montrant le spectre de l’homme modifié clandestinement.
Les performances surhumaines du nageur chinois, Ye Shiwen, ont conduit John Leonard, directeur de l’Association des entraîneurs mondiaux en natation, à décrire les exploits mondiaux du jeune de 16 ans comme « suspects », « inquiétants » et « incroyables ».
Il a dit que les autorités qui ont fait subir des tests anti-dopage à Ye Shiwenauraient également dû vérifier « s’il y avait quelque chose d’inhabituel en termes de manipulations génétiques. » Le Dr Ted Friedmann, président du comité de génétique pour l’Agence mondiale anti-dopage a accepté en disant qu’il « ne serait vraiment pas surpris du tout » si des améliorations génétiques étaient actuellement secrètement utilisées sur des humains.
En d’autres termes, le « Brave New World » d’Aldous Huxley se glisse déjà sous la plupart des radars du public.
Le diagnostic prénatal humain, le dépistage des génomes du fœtus et les créateurs d’enfants n’étaient que les premières fissures dans le barrage retenant les variations supplémentaires dans le réservoir génétique de l’homme de ce siècle, et les experts l’admettent maintenant.
Cela inclut l’Académie des sciences médicales mentionnée plus tôt, le même corps scientifique astucieux qui a plus récemment rejoint l’Académie britannique,l’Académie royale de l’ingénierie et la Société royale pour produire une étude conjointe plus étroite en 2012, intitulée :« L’amélioration de l’homme et l’avenir du travail », dans laquelle ils ont recensé la tendance alarmante qui vise à l’augmentation cognitive et physique des humains.
Dans cette nouvelle étude, l’équipe a caractérisé ses vives inquiétudes sur l’éclosion de l’âge « hybride » comme ayant déjà commencé où l’arrivée d’une nouvelle forme humaine est à l’horizon. Quelles nouvelles races d’hominidés prévoient-ils ?
Un exemple de leurs travaux met en évidence la façon dont les gens pourraient être conçus pour posséder des qualités serpentines :
« Les participants ont discuté comment ces techniques peuvent aider les futures recherches dans l’extension de la portée de la vision humaine ainsi que pour inclure des longueurs d’ondes supplémentaires. Il existe des exemples chez les animaux, comme chez les serpents, qui peuvent détecter des longueurs d’ondes infrarouges pouvant constituer une source de recherche pour développer des approches qui peuvent être utilisées chez l’homme. Des applications pourraient être envisagées dans l’armée, mais aussi, dans d’autres domaines comme pour les veilleurs de nuit, inspecteurs de sécurité, gardes-chasse, etc. … y compris la possibilité de vision améliorée pendant la nuit. »
Pour s’assurer que la population serpentine de demain puisse non seulement voir dans l’obscurité, mais qu’elle soit bien branchée dans le réseau de Fin des Temps qu’ils vont servir, les imminents reptiliens-humains auront également des améliorations « physiques et numériques comme les implants cybernétiques et les technologies avancées d’interface-machine, comme un Borg », selon l’étude.
Chaque fois que ces auteurs parlent du transhumanisme et de l’époque menaçante de« l’amélioration humaine », les gens sont surpris d’apprendre les nombreuses façons dont le gouvernement des États-Unis a impliqué l’argent des contribuables à des institutions, comme Case Law School (Cleveland, Ohio), pour l’élaboration des lignes directrices qui seront effectivement utilisées pour établir les politiques gouvernementales et publiques autour de la prochaine étape de l’évolution humaine par les modifications génétiques.
Maxwell Mehlman, professeur de bioéthique à l’École de médecine Case, a reçu près d’un million de dollars pour diriger une équipe de professeurs en droit, de médecins et de bioéthiciens sur un projet de deux ans pour « élaborer des normes pour les tests sur des sujets humains concernant des recherches qui implique l’utilisation des technologies génétiques pour améliorer les individus normaux. »
À la suite de l’étude initiale, Mehlman a commencé à voyager aux États-Unis en offrant deux cours aux universités : « Évolution dirigée : Politique Publique et Amélioration Humaine » et « Transhumanisme et l’Avenir de la Démocratie. »
Ces discussions sont conçues pour informer et convaincre les étudiants de la nécessité pour la société de comprendre comment les nouveaux domaines de la science ont déjà mis en branle ce que certains appellent « l’Âge hybride », un moment où ce que signifie d’être un homme sera changé à jamais.
Il est révélateur que beaucoup de ces technocrates reconnaissent avoir été influencés par les œuvres d’hommes comme Friedrich Nietzsche (d’où provient la phrase « Dieu est mort ») et Goethe, l’auteur de Faust. Nietzsche est à l’origine du « surhomme » qu’Adolf Hitler rêvait de produire, et de « l’entité » de l’homme, selon Nietzsche, il finira par se transformer.
Comme les anciens Surveillants avant eux, les transhumanistes rêve de donner vie au « surhomme » de Nietzsche en re-frabriquant l’homme avec les animaux, les plantes et les autres formes de vie synthétiques par le biais, entre autres, de l’utilisation de la technologie de la recombinaison de l’ADN, l’ingénierie germinale et le transgénisme, dans lequel la structure génétique d’une espèce est modifiée par le transfert de gènes provenant d’une autre espèce.
Alors qu’aux États-Unis, George W. Bush a demandé une législation « pour interdire … la création d’hybrides humain-animal, et l’achat, la vente ou le brevetage des embryons humains, » la perspective de l’homme animalisé « est un sujet de discussion sérieux dans certains milieux scientifiques », écrivait le principal conseiller de l’Alliance Defense Funds, Joseph Infranco.
« Nous sommes bien au-delà de la science-fiction des hybrides tourmentés de HG Wells dans l’Île du docteur Moreau; Nous sommes dans un temps où les scientifiques envisagent sérieusement la création d’hybrides humain-animal. »
L’ancien président du Conseil sur la bioéthique du président, Leon Kass, a peut-être écrit son meilleur texte dans l’introduction de son livre, La vie, la liberté et la défense de la dignité : Les défis de la bioéthique :
« La nature humaine elle-même repose sur la table d’opération, prête pour la modification, par les « améliorations » eugéniques et psychiques, pour la refonte de l’ensemble. Dans les laboratoires, universitaires et industriels, de nouveaux créateurs amassent en toute confiance leurs pouvoirs et perfectionnent leurs compétences, tandis que dans la rue leurs évangélistes transhumanistes président avec zèle un avenir post-humain. Pour toute personne qui se soucie de préserver notre humanité, le temps est venu de prêter attention. »
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